Alors voila quelques choses que j'ai écrit pour me défouler un peu. J'espère que vous allez appréciez.
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Des larmes se mirent à couler de ses yeux azurs. Il n’avait pas voulu que cette relation se termine, mais il avait fallu que ça arrive comme toute les autres auparavant. Ces femmes, elles étaient toute les mêmes, recherchant ce que homme peut leur offrir sans pensé a l’intérêt de ceux-ci.
De toute manière, il avait cru l’aimé mais tout ce qu’il avait ressentit avait été comme un feu de paille qui s’était éteints trop rapidement. Il lui avait de la peine et il en était conscient mais cette décision le libérait de quelque chose qu’il ne pouvait plus gérer.
Il se souvenait de son pauvre visage tendre qui s’emplissait de larme pendant que lui retenait les siennes. Il devait paraître fort devant elles. Devant toutes ces personnes qu’il avait fréquenté. Car si il n’agissait pas comme ça, il savait qu’elles pourraient faire n’importe quoi de lui.
Mais il n’y avait pas que ça... cette fille. Elle était belle avec ses longs cheveux qui descendaient en cascade le long de son visage. Ses yeux d’émeraude ne cessait de miroiter. Éléonore, elle venait le chercher. Le chercher au plus profond de lui, lui faisant ressentir l’amour naissant.
Il la connaissait depuis longtemps mais jamais il n’avait remarqué la beauté qui l’habitait. Son cœur se mit à batte lorsqu’elle s’approcha de lui. Elle le salua d’un signe de tête puis passa son chemin.
- Jamais je n’aurai cette chance, marmonna-t-il à regret.
Elle était à ce jour, une des rares filles qui n’est pas tombé sous son charme. Il en était plutôt déçu. Il en aurait voulu autrement.
- J’aurai tant aimé...
Il dirigea son regard vers l’endroit où elle s’était arrêté.
- Encore avec ce garçon, grogna-t-il.
Il se retourna et partit à la hâte rejoindre la seule place où il se sentait bien : Sa chambre.
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Il avait décidé d’aller la voir chez elle. Il ne l’avait pas vu depuis près d’une semaine et l’envie de lui parler prenait place en lui peu à peu. Lorsqu’il cogna à sa porte, elle vint lui ouvrir.
- Qu’est-ce que tu fais là? S’étonna-t-elle
Le garçon baissa son regard lorsqu’il vit l’agacement dans les yeux de la fille.
- Je...
Il n’avais pas l’habitude de manquer de mots, mais cette fois-ci il ne sut quoi répondre.
- Félix?
Il se mordit la lèvre, espérant qu’elle ne pense pas trop de mal de lui.
- J’ai seulement eu envie de te voir, finit-il par avouer.
Elle lui fit un sourire avant de regarder derrière elle. Elle baissa son regard.
- je crois que je vais devoir rentré.
Il fut un peu déçu. Il aurai aimé pouvoir lui parler et en apprendre plus sur sa vie. Il savait maintenant qu’elle n’était pas comme les autres. Il l’aimait comme il n’avait jamais aimé qui que ce soit.
- Je t’aime.. chuchota-t-il espérant presque qu’elle ne l’entende pas.
Mais il n’eu pas cette chance car elle l’avais entendu. Elle lui jeta un dernier regard... dégoûté, avant de refermer la porte.
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Si elle aurait su ce qu’il comptait faire après cela, elle lui aurait ouvert sa porte et l’aurait accueilli chez elle. Elle ne se doutait pas du geste qu’il allait posé cette nuit-là.
On le découvrit mort dans son lit le lendemain matin. Il avait prit un couteau et s’était ouvert les veines a plusieurs reprises et avait laissé quelques gouttes de son sang sur la lettre qu’il avait laissé aux habitants de cette terre. Lorsqu’il avait eu fini de l’écrire, il s’était ouvert une veine vitale et avait laissé son corps se vider de son sang. Baignant dans son propre sang, son visage affichait toute la tristesse de son dernier jour de vie. Sur sa lettre, écrit à la va-vite, inscrit ces quelques mots :
« Je quitte ce monde pour en rejoindre un autre, là où je n’aurais plus a souffrir pour des gens qui n’en valent pas la peine. Papa, maman vous avez été les seuls sur cette terre a vous préocupper vraiment de moi. Adieu... je vous ai aimé.
Félix »