Mon aventure commence

Bon, je recommence a maugréer les humains, sales bêtes, comment ont, ils pu, si je pourrait mettre ma main sur un de ces salopards, quand je pense que j'ai du gène d'eux, je me dégoute, le soleil se lève
je décide de laisser mes souvenirs derrière et d'explorer la plaine, je trouve un ruisseau, et je m'y abreuve en regardant les poissons rouges dans ce dernier , mouais, ce serait une superbe place pour habiter, je commence mes préparations, je scrite les environs a la recherche d'endroit pour abris.
je voit un veil tromp d'arbre couché de tout son long, mon dieu qu'il est gros, je creuse le tromp pourri avec mes sabots, AARG! , une écharde
vraiment grosse me rentre dans le sabot, imcapable de bouger, je me crispe de douleur en maugréant cet maudi arbre « je te hais, arbre, je te hais!»

Une jeune femme chat ce promenait dans la clairiere. Quand elle vit un centaure marteler de ses sabots un arbre mort avant qu'il hurle dessus. Elle en fut bien surprise. Elle s'approcha de lui. Elle ce baissa et enleva l'écharce que le pauvre avait dans le sabot.

- Pouquoi maltraite tu ce pauvre arbre ?? Il na ta pourtant rien fait.

Elle était rousse avec des yeux vert émeraudes. Ses cheveux lui arrivaient a la nuc et était habiller d'une petite robe blache.

je me rendis pas tout-de suite que cette femme m'avait enlevé de ce que je maudissait,je m'arrète pour tendre l'oreille, et j'entend une voix , elle me dit pourquoi, ah d'accord, cet arbre
croyant que la douleur me fesait des siennes , je décide d'y répondre, «Eh bien,tu nas pas vu, cet arbre as essayé de me tuer» je commence a me relever la douleur encore présente, je me tourne vers mon interlocuteur, une petite femme me fixait, les yeux brillants, je fais deux pas en arrière, et dit de tout mon tremblement de peur« Que vvvouler vous humain, vous avez déja tué mes parents et vous etes revenus pour moi?» je me tourne pour verser des larmes en ruminant« vous, étes monstrueux»

Le jeune femme ne savait pas pourquoi cet homme avait commencer a pleurer.

- Désolé, mais je ne comprend pas...

Elle ce pencha sur lui et posa une une main sur son épaule.

- Je ne connais meme pas vos parents !

«Vous, vous ne les avez jamais vus?, un instant j'ai crus que. d'accord, et je vous regarde de près, vous n'ètes pas une humaine, avec ces oreilles et cette queue, vous devez être une Femme-Chat, ah le poid que ca m'enlève.»

plus sans aucune crainte maintenant , je me calme et me présente

«Je me présente, Éphaistos, Centaure comme vous avez pu le constater. A vrai dire, je ne sait ou aller , les fées qui m'élevaient ons jujé que je devait vivre ma vie, et me voila perdu et essayant de me construire un abrit dans ce bois pourri,

je m'éloigne de la femme-chat , tourne les yeux vers le ciel et crie:

Dieu de la nature, je suis au désespoir et afamé, a la place de me donner un abri et des poissons, tu me donne une femme-chat!

je fixe le ciel, furieux
une minute plus tard, la femme continuait de me regarder
je lui dit du coin de l'oeuil

je ne sait pas d'ou tu vien , non plus ou tu vas mais laisse moi tranquille, j'ai un abrit a construire et une canne a pêche a confectionner, meme ci je ne sait pas comment.

Désolé mais la couleur rouge est interdite.

Elle est réservé au admin.

La femme-chat avait écouter le centaure parler. Il semblait bien seul. Elle en fut painer. Elle le regarda faire avec un grande tristesse dans son regard. Elle s'approcha de lui et regarda le ciel a son tour.

- Tu semble si seul, j'ai entendu dire que beaucoup d'énènement ce passait dans le territoire humain et dans les montagne.

Elle ce retourna vers lui et sourie.

- Tu devrais y faire un tour.

Une fois ça de dit, elle commenca a s'éloigner, mais s'arreta pour pour lui dire :

- Ton Dieu t'a entendu, quand je serrais partit, retourne toi et tu aurras de quoi manger.

Sur ses mot, elle dissparut dans un éclat de lumiere bkanche.

Regardant la femme s'en aller dans un aillon de lumière,
je me resaisis, « je ne peux pas rester seul, je vais mourir seul» en me secouant la tete

cette femme as peut-etre bien dit faux, mais j'ai rien a perdre il me faut partir,

en repensant a cette femme chat si étrange, je me repelle de «quand je serrais partit, retourne toi et tu aurras de quoi manger.»

je me tourne , de mes yeux écarquillés, j'ai vu une pile de poissons, sur le bord de la rivière, sans meme panser, j'en prend un et le dévore au complet, maintenant repu et rempli d'espoir, je dénoue le bout de tissus autour de ma taille et le remplis de poisson au maximum, je l'accroche une branche improvisée, tel un baluchon

j'ai maintenant une quete personnelle, trouver des hommes animaux.

en regardant devant je me met a galoper jusqu'au sommet de la plus grande colline, je vois des ruines très loin « voila ou je dois aller» je prend un dernier poisson de mon baluchon et commence mon périple, avant de quitter la fôrèt , je regarde le ciel et dit

«J'ai jamais perdu espoir, merci, dieu de la nature»

mon périple commence